Albums posthumes, le meilleur et le pire
À l’occasion de la sortie d’un énième album posthume de Jimi Hendrix, la presse passe en revue les meilleurs et les pires disques « morts-vivants », de Nirvana à 2Pac, de John Lennon à Michael Jackson.
Jimi Hendrix – People, Hell and Angel (2013)
Onzième album posthume du plus célèbre et influent branle-manche de toute l’histoire du rock’n’roll, People, Hell and Angel inclut principalement les sessions studios qui auraient dues servir à alimenter First Rays of a New Rising Sun, la suite du sommet vaudou Electric Ladyland, contentant collectionneurs invétérés et aficionados hystériques. Mais selon Eddie Kramer, l’ingénieur du son officiel du guitariste tout au long de sa carrière, cet album ultra-post-mortem serait le dernier composé d’inédits. Cette fois c’est bon, les tiroirs sont vides et le citron électrique définitivement pressé. Jusqu’au prochain album posthume, bien sûr.
Publié le mars 20, 2013, dans Actualités. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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